La philosophie de Workplace Options (WPO) repose sur trois principes : la portée, la pertinence et les résultats. Nous proposons des services à l’international cohérents, facilement accessibles et de haute qualité – des services qui font une différence significative dans la vie des employés et leur permettent de contribuer plus consciemment et plus efficacement au succès de leurs organisations. Depuis 1982, WPO se consacre à l’amélioration du bien-être et de la santé de vos employés. Aujourd’hui, WPO est le plus grand acteur mondial dans le domaine du soutien et d’accompagnement aux employés.

Plus de 116 000 organisations et leurs 70 millions d’employés dans plus de 200 pays du monde entier font confiance aux services de WPO. Chaque jour, nous nous réunissons avec des responsables des ressources humaines, des responsables financiers, des experts en santé et sécurité et des membres du conseil d’administration et, sur la base de notre expérience, nous partageons notre vision de l’avenir du travail et du rôle que le bien-être peut et va jouer dans ce domaine.

Bien que la santé soit la responsabilité ultime de l’employé, en tant qu’employeur, vous pouvez également jouer un rôle en encourageant et en facilitant la santé des employés. Parce que vous voulez être un bon employeur. Et parce qu’investir dans le bien-être de vos employés a des effets positifs sur votre entreprise. Réduire l’absentéisme et le présentéisme. Augmenter la rétention et l’engagement. Accroître la confiance et la coopération Stimuler la diversité et l’inclusion. Faciliter le changement et la sécurité psychologique.

“La santé est par définition une histoire holistique : on ne peut pas séparer la santé physique de la santé mentale.”

1. Tout le monde s’épuise ?

Le burnout est partout aujourd’hui. Nous connaissons tous quelqu’un qui a été confronté au burnout. Est-il devenu un terme fourre-tout ? Outre l’aspect humain souvent complexe, qui mérite toute l’attention, les entreprises voient aussi le coût de ces absences de longue durée, et leur effet sur le plancher de travail, aujourd’hui exacerbé par la pénurie sur le marché du travail.

Lorsque les employés cherchent de l’aide sur une base individuelle, ils ne trouvent pas immédiatement l’orientation professionnelle appropriée, et ils sont confrontés à de longs délais d’attente, sans parler du coût, qui constitue pour beaucoup un obstacle. De plus en plus d’entreprises proposent nos programmes de retour au travail par l’intermédiaire de leurs assureurs, afin que leurs employés puissent reprendre leur vie active de manière durable. Nous constatons que notre approche multidisciplinaire est payante, avec une équipe d’accompagnement toujours composée au minimum d’un psychologue, d’un préparateur physique et d’un coach.

Mieux vaut prévenir que guérir ? Bien sûr. C’est pourquoi la prévention de l’épuisement professionnel figure désormais parmi les priorités de nombreux chefs d’entreprise. Parce qu’une approche réfléchie et consciente du bien-être et une attention proactive au bien-être mental sont la bonne voie vers un emploi durable. Parce qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Et moins cher.

2. Le bien-être mental à la conquête de l’atelier

L’attention portée au bien-être physique était déjà présente, l’importance de l’exercice et du sport figurait déjà depuis un certain temps à l’ordre du jour des entreprises. Cependant, il y avait encore un (grand) tabou lorsqu’il s’agissait du bien-être mental. Grâce au Covid-19, de nombreuses organisations ont redéfini le bien-être et ont rendu le bien-être mental négociable. Et ils l’ont concrétisé en proposant des programmes de soutien à leurs employés. En Europe, notamment en Belgique et aux Pays-Bas, nous assistons à un véritable exercice de rattrapage qui entraîne un changement de mentalité. Dans une histoire de capital humain durable, le bien-être mental a définitivement sa place en tant que pilier stratégique important.

3. Les entreprises envisagent la formation différemment

Les organisations se rendent compte que la formation permanente est essentielle pour offrir aux personnes la possibilité de continuer à se développer. Il ne s’agit pas seulement de formations ayant un lien immédiat avec l’emploi, mais aussi de formations qui enseignent des compétences utiles en dehors de l’emploi. Grâce à divers programmes de formation, nous enseignons, entre autres, les connaissances de base sur le bien-être mental :

– De la reconnaissance des signaux, en passant par le soutien pratique à un collègue, jusqu’aux moyens de gérer son propre bien-être mental de manière plus consciente.

– Il existe des programmes destinés aux ambassadeurs, mais aussi des programmes spécifiquement destinés aux managers, qui visent à diriger dans un environnement en constante évolution, en accordant une attention particulière à la reconnaissance du stress et des sentiments d’anxiété chez les employés, et aux moyens d’y faire face de manière appropriée. La sensibilisation, les stratégies d’intervention et les options pour accroître la résilience sont abordées.

4. Le bien-être n’est plus l’apanage des RH. Et c’est une bonne nouvelle

Au cours des deux dernières années, la pandémie a permis aux RH de jouer un rôle plus important dans de nombreuses organisations et de devenir une partie prenante stratégique. En outre, la publication de la récente norme ISO 45003 signifie que la charge de travail psychosociale, qui est responsable de la moitié de l’absentéisme, peut désormais être traitée de manière systématique et structurelle dans le monde entier, ce qui garantira également une plus grande sécurité dans les ateliers.

En outre, nous saluons la norme ISO 31030, qui concrétise le devoir de diligence et la gestion des risques pour les organisations ayant des voyageurs d’affaires, des expatriés et des étudiants internationaux. La santé mentale fait explicitement partie de ces directives.

Lorsque les services HSSE et RH s’allient, vous augmentez la capacité de charge de toute initiative de bien-être que vous mettez en place en tant qu’organisation, qu’il s’agisse de sensibiliser davantage, de mettre en place des cours de formation ou de promouvoir et d’utiliser efficacement un programme d’aide aux employés.

Conclusion

La mise en place d’une politique holistique de bien-être ne doit pas être un exercice de case à cocher dans un agenda surchargé, mais une priorité bien réfléchie, car les effets se font sentir dans de nombreux domaines cruciaux : prévention, engagement, rétention, motivation, résultats. Prendre soin de vos employés, c’est prendre soin de votre entreprise. L’avenir du travail se portera bien. L’avenir du travail est humain.