Portail des membres

  • Consulter nos articles et ressources
  • Contacter un conseiller
  • Sujets couvrant la vie professionnelle, le bien-être, la parentalité, la gestion des salariés, etc.

Portail des clients

  • Mise à jour automatique des effectifs dans UCMS
  • Facturation reflétant les populations actives sous votre compte
  • Rapports sur la répartition des cas, et l’utilisation.

Portail des partenaires de service locaux

Les partenaires de services locaux sont des PAE indépendants avec lesquels WPO a établi des relations stratégiques pour la prestation de services mondiaux en conformité avec les modèles, processus et normes de qualité de notre organisation.

  • 23 juin 2023
  • 11 mois

« Le Burn-out : comment en sortir, comment s’en prémunir ? » Volet 2

Marie Martin

Psychologue - Coordinatrice clinique & professionnelle Service Réadaptation

Cet article a été rédigé à « 4 mains », avec la Responsable du service Réadaptation de Workplace Options, Emmanuelle FOURCADE, à qui j’adresse mes sincères remerciements pour son éclairage, la pertinence de son regard et, avec qui, œuvrer de concert est un grand plaisir.

« L’allumeur de réverbères » / Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince (1946)

Dans le précédent volet, nous avions abordé les facteurs qui peuvent favoriser la survenue d’un Burn-out (BO) tels que le binôme NTIC/ télétravail (à outrance ou non rationalisé), le « multi-tasking » (multi-tâches) couplé au « task switching » (passage d’une tâche à l’autre) requis pour répondre à toutes les injonctions, partout, tout le temps, au prix de l’épuisement sur le long-terme. Autrement dit : c’est le tourbillon cognitif, énergivore en termes d’attention-concentration qui creuse le terreau du BO.

Mais le BO n’est pas une fatalité. Avoir vécu un BO dans sa carrière n’augure pas, telle une épée de Damoclès, que l’on va revivre cet épisode douloureux à répétition. La condition est cependant qu’une prise en charge efficiente ait bien été mise en place pour la personne. Il s’agira, autant pour le collectif de travail que pour le salarié concerné, d’en tirer des enseignements et de veiller aux signaux d’alertes. De même, la prévention primaire du BO, avant même son apparition, est possible et est l’affaire de tous : employeur, médecine du travail, managers et salariés. Chacun, à son niveau, doit y veiller et alerter en cas de risque avéré : une période de surcharge de travail qui dure dans le temps, des pratiques désuètes qui font perdre du temps et de l’énergie aux équipes, un turn-over excessif, des arrêts de travail à répétition, une ambiance de travail dégradée et des conflits à outrance, un débordement de la sphère professionnelle sur la sphère privée, etc. Le clignotant orange peut être stoppé ici-même.

Dans ce volet, nous proposons de vous éclairer sur la prise en charge et la prévention du BO.

Prise en charge du BO = comment être accompagné / s’en sortir ?

La prise en charge du BO s’opère sur deux volets : le collectif de travail et le plan individuel. A titre collectif, l’employeur, les responsables, les managers – garants du bien-être de leurs équipes – collaborent avec les acteurs de la santé au travail. Une fois alertés, tous doivent se réunir autour de la personne pour endiguer son inexorable progression vers le BO, tel Icare se brûlant les ailes tout en cheminant vers le soleil, et œuvrer à son rétablissement. Pouvoir stopper la personne en situation de BO nécessite quasi systématiquement l’intervention d’un tiers. En effet, les conseils et inquiétudes des proches n’atteignent plus la personne. Ainsi, le rôle du médecin traitant et du travail sont prépondérants ; leur première action est de mettre la personne en arrêt maladie, dixit M PEZE : « Surtout ne restez pas seul et allez consultez » (1-Préventica, 2022). Puis, post-BO, aménager un poste de travail avec le recours du médecin du travail favorise le retour en poste d’un salarié qui a été en arrêt : modifications des missions, allègement des tâches, travail en binôme, remonté en charge progressive, points réguliers avec son manager, etc.

A titre individuel, il est nécessaire sinon indispensable d’opérer un travail sur soi, de modifier son rapport au travail ainsi que les habitudes et comportements qui ont précipité sa chute : c’est aussi l’opportunité d’apprendre à faire autrement. S’entend ici le concept de résilience, la capacité de tout-un chacun de rebondir après un épisode de vie difficile et d’activer des ressources, parfois insoupçonnées : « Ce qui fait la nuit en nous peut laisser en nous les étoiles. » Victor HUGO. Pour la personne qui vit un BO, il y a des personnes ressources et des organismes à solliciter tant dans le sérail professionnel que dans la vie privée, tels que (liste non exhaustive) : le médecin traitant, le médecin du travail, un psychiatre, un psychologue (clinicien, du travail), un thérapeute, un coach professionnel, les réseaux spécialisés de soutien et d’aide à la sortie du BO, etc. Les équipes pluridisciplinaires favorisent une prise en charge holistique ce qui permet de traiter l’ensemble des sphères touchées par le BO ; le BO impactant tous les niveaux de vie, ne pas tous les considérer amoindrirait considérablement l’efficience de la prise en charge. Ainsi, l’étude épidémiologique d’Unisanté (2-Centre universitaire de médecine générale et santé publique de Lausanne, 2022), démontre l’importance du travail en pluridisciplinarité pour la prise en charge du BO et recommande de renforcer la collaboration interdisciplinaire des professionnels de santé.

La reconstruction post-BO nécessite du temps. C’est un processus de guérison qui demande de faire retour sur ce qui s’est joué, de déconstruire les évènements, de comprendre les mécanismes qui ont été à l’œuvre de l’engrenage, de se questionner sur la place que le travail prend dans sa vie, de mettre des limites, de recloisonner les espaces professionnels versus privés, d’identifier ses ressources externes et internes, de réinvestir des activités de loisirs, de retisser des liens avec les autres. Il est vital de tirer des enseignements de cette épreuve afin d’une part, de donner du sens à ce qui s’est produit et d’autre part, de disposer d’un système d’alerte fiable pour se préserver dans le futur. Durant cette phase de soins, la personne pourra retrouver et développer ses stratégies d’adaptations et de faire face au stress (3- « Coping », Lazarus & Folkman, 1984 / 4- Endler & Parker, 1990) voire en développer de nouvelles mieux ajustées à son environnement actuel et futur.

Il s’agira aussi, à terme, après avoir pris soin de soi, de réfléchir à son cheminement professionnel et d’enclencher alors les « chemins de la résilience professionnelle », selon les termes de S. Bataille (5-2022) : un retour à son poste dans de nouvelles conditions ou de s’orienter vers un autre poste ou métier, mieux adapté à ses besoins, en accord avec de nouvelles aspirations et l’expérience acquise post-BO. Dans tous les cas, la reprise d’activité s’anticipe et se prépare. Pour y parvenir, s’appuyer sur des tiers externes spécialisés permet de réaliser avec succès ce cheminement réflexif indispensable pour éviter de se re-trouver dans des situations à risques et glisser de nouveau sur la pente insidieuse de l’épuisement.

La prévention du BO = comment s’en prémunir ?

La prévention du BO se situe elle aussi sur 2 niveaux : collectif et individuel. Quant à la prévention collective du BO, une action sur les RPS (Risques Psycho Sociaux) sur le lieu de travail est fortement recommandée à titre de prévention primaire (6-rapport DGT, 2015) : informer et former les travailleurs, veiller à la charge de travail de chacun, garantir un soutien social solide (équipe, responsables), donner des marges de manœuvre, assurer une juste reconnaissance, discuter des critères de qualité (en équipe et avec le manager). Le principe directeur est de créer un « environnement (professionnel) qui favorise la santé mentale et offre à ses employés une protection contre les préjudices psychologiques tout en favorisant de saines habitudes de vie » comme le souligne le CCHST (7-Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail, 2023). Dans ce sens, Justin D. Henderson, docteur en psychologie, pointe l’importance des mesures préventives du BO au sein de l’écosystème professionnel et donc d’une réflexion de fond sur la culture en place dans l’environnement de travail immédiat (8-« Self-Care is Not the Solution for Burnout », 2022). Il insiste lui aussi sur la nécessité de fournir en priorité des espaces professionnels bienveillants et sécures, qui favorisent le bien-être des salariés : “Creating Resilient Workplaces, Not Just Resilient Workers(« Créer des lieux de travail résilients, pas uniquement des travailleurs résilients »).

En termes de prévention secondaire, le dépistage précoce du BO est préconisé pour garantir le bien-être des équipes ; il s’agit de reconnaître les signaux d’alerte collectifs (absentéisme, turn over, etc.) et individuels (arrêts maladie à répétition, mal-être, fatigue récurrente, plaintes). La prévention collective du BO demande la mise en place d’une politique de prévention au sein du collectif à mener avec tous les acteurs de l’entreprise (instances dédiées en interne, médecine du travail, assureur, partenaire externe, etc.) Tout le monde a à y gagner, employeur comme salarié, que ce soit pour gagner en confort au travail comme en productivité. Adopter des habitudes de formations continues est une pratique à favoriser, non seulement pour adopter de nouveaux process, mais aussi pour donner l’occasion de penser et d’examiner différemment les sources de Burn out. Faire se réunir les salariés et se rencontrer sur un autre espace, pour échanger sur des sujets communs à travers des visions croisées, est précieux à plus d’un titre : un collègue d’un autre service va apporter son regard et son expérience, ce qui va aider à trouver une solution au rubis-cube mental du moment. Tout ceci favorise l’émulation, la créativité et le renouveau : tout ce que l’épuisement annihile avec le temps. La mise en place effective d’une politique d’évolution de carrière réelle (GPEC) est un facteur transverse à ne pas négliger ; trop souvent les aspirations et talents de chacun sont ignorés (parfois par la personne) et empêche le plein accomplissement professionnel.

Quant à la prévention individuelle du BO, conserver une bonne communication et des échanges réguliers avec son équipe, son manager est essentiel, qui plus est à l’ère du tout numérique. Il est également vital d’apprendre à organiser des espaces de respiration afin que la sphère professionnelle reste à sa « juste place » par rapport à la sphère personnelle : temps de mise en route du matin et décrochage du soir, vraie coupure déjeuner, pauses, etc. Le recours au bon sens est toujours indiqué par les spécialistes, notamment pour le maintien d’une bonne hygiène de vie : veiller à sa fatigue, respecter son temps de sommeil, son alimentation, conserver une activité physique, des activités de loisirs et du temps pour sa vie familiale et sociale, etc. De plus, en prenant du recul et en travaillant sur soi, on peut apprendre à : connaître ses stratégies d’adaptation au stress et savoir les modifier si besoin, appréhender son fonctionnement cognitif et émotionnel, détecter ses besoins professionnels, réserver des espaces temps ressources (temps « hors production »), ne pas se croire indispensable et déléguer, sortir de l’injonction de la performance. Dans l’article « Le burn-out : quels sont les signes précurseurs et peut-on s’en remettre sans changer d’environnement ? » (9-Interview D. FANON, RTBF, 2022) le Dr Caroline, psychiatre, offre ses conseils de prévention : « se fixer des limites, savoir dire non, respecter des horaires, faire des pauses, ne pas regarder ses mails le soir et le week-end. / Garder un équilibre vie privée et vie professionnelle : garder des activités ludiques et sociales. / Gérer son stress : méditation, cohérence cardiaque. / Abandonner le perfectionnisme : tout ne doit pas être toujours parfait. / Savoir demander de l’aide. ». Dans le même état d’esprit, Michelle CEDEBERG (10-2020), a repris l’idée de BANSKY : “If you get tired, learn to rest, not to quit(« Si vous êtes fatigué, apprenez à vous reposer, pas à abandonner ») en l’articulant autour de 3 arguments : un travail important ou qui nécessite un fort investissement requiert du temps donc de savoir s’économiser pour mener ses missions à terme / l’agitation de nos vies modernes amène de la fatigue et diminue nos capacités d’attention et notre progression dans la tâche / le corps et le mental ont besoin de repos pour restaurer nos capacités, c’est leur fonctionnement et nous y répondons à l’inverse quand nous manquons de sommeil, sautons les pauses, déjeunons sur le pouce, etc. In fine, l’idée princeps pour se prémunir du BO est de toujours veiller à maintenir l’équilibre et, à mettre sa santé psychique, physique et émotionnelle en priorité.

Un autre facteur de préservation du BO demeure le lien social. Pour faire retour à la pensée de CYRULNIK (Volet 1 BO), remettre du liant entre les individus apparaît comme un facteur de protection contre le BO sinon la condition nécessaire pour l’humain au travail. Ce lien social a été particulièrement mis à mal avec la crise Covid et l’avènement du télétravail, mis en place en urgence et régulé après-coup. La pratique actuelle du télétravail nécessite encore des accordages et la mise en place de cadre de référence pour l’ancrer dans la culture professionnelle. Trop peu, ou pas du tout, de temps de télétravail accordé peut être mal vécu par un salarié qui souhaiterait pouvoir en bénéficier et gagner en confort au quotidien (trajets, vie familiale, temps pour soi). A l’inverse, le télétravail à 100% empêche le régulateur que constitue le lien à l’autre, on ne prend plus le temps de faire une pause pour échanger sur les petites choses de la vie, on ne lève plus le nez de ses 30 dossiers en cours …  A ce sujet, le Gouvernement du Quebec (11-2023) propose des conseils pour maintenir une bonne santé mentale dans le cadre du télétravail : « Créez-vous un espace confortable, réservé à vos activités professionnelles. / Prenez des pauses pour vous détendre et être actif. Sortez à l’extérieur. Prenez le temps de dîner. / Maintenez des contacts quotidiens avec vos collègues en utilisant les outils mis à votre disposition comme le courriel, le Web, le téléphone, les appels vidéo ou le clavardage pour échanger avec eux quotidiennement. / N’hésitez pas à reconnaître les efforts et les bons coups de vos collègues. / Soyez indulgent envers vous et vos collègues. Il est possible que certaines journées soient moins productives que d’autres ».

Au-delà de la crise de vie provoquée par le BO, sa prise en charge peut devenir l’occasion de mieux se connaître. Il peut même s’agir d’une réelle découverte de son soi professionnel et de ses ressources : « Au plus fort de l’hiver, j’ai appris que je portais en moi un invincible été. » Albert CAMUS

Comme pour bon nombre de problématiques de santé au travail, la meilleure prise en charge du BO demeure sa prévention, collective comme individuelle. Le collectif peut s’appuyer sur des indicateurs objectifs et quantifiables, ce qui requiert une veille régulière quant à l’état des équipes : salariés comme responsables et managers, qui sont bien souvent les premiers en lice pour subir le BO de plein fouet. Il est l’affaire des responsables et des managers de veiller au bien-être de leurs salariés (et au leur) en conservant des temps d’échanges institués et réguliers avec ces derniers mais aussi en favorisant les moments de rencontres inter et intra équipes. En effet, instaurer voire réinstaurer des espaces de rencontres interpersonnels sur le temps professionnel est une condition sine qua none à la prévention du BO. « La grandeur d’un métier est peut-être, avant tout, d’unir des hommes : il n’est qu’un luxe véritable, et c’est celui des relations humaines. » Antoine de Saint Exupéry (Terre des Hommes, 1939). A titre individuel, respecter son équilibre de vie entre la part professionnelle et personnelle, avoir une vie en dehors du travail, des activités, du lien social, mettre des limites, s’affirmer et savoir dire non, alerter en cas de charge trop importante ou de dysfonctionnements sont autant de facteurs protecteurs à adopter et maintenir dans le temps. A ce sujet, dans leur podcast « Le petit prince, un texte visionnaire sur l’épuisement professionnel » (12-WPO, 2023), L. HAUSS & M. YSERBIJT font retour sur le personnage qu’est l’allumeur de réverbère (Le Petit Prince, A. Saint Exupéry, 1946) ; il est une illustration flagrante du risque de BO mais aussi du besoin impérieux de repos et du respect des limites chez l’être humain.

In fine, nous sommes tous acteurs de la prévention et sensibilisation du BO. Dans ses conférences, Marie PEZE, nous incite à faire part de notre inquiétude à un.e collègue que nous trouverions surmené.e et de ne pas hésiter à lui dire ces quelques mots : «  je m’inquiète pour toi … ». Un manager peut proposer son appui en toute simplicité : « que pouvons-nous faire pour t’aider, réfléchir ensemble à faire autrement, te décharger, etc. ? ». Le nez dans le guidon et le palpitant à 300 à l’heure, on ne voit plus : ni la route, ni le vélo, ni le mur en face … Quelques mots bienveillants, sans trop insister, peuvent permettre d’éclairer l’autre sur sa situation et lui offrir l’occasion de prendre un peu de recul, ce qui peut être salvateur.

Qu’advient-il de ces Icares qui se sont approchés trop près du soleil ? Ont-ils pu se relever, panser leurs plaies et penser ce qui s’est joué pour eux ? Dans un dernier volet, nous proposerons de vous raconter l’histoire de ceux qui ont accepté de partager leurs vécus et parcours de soins du BO.

Références :

1 – Salon Préventica 2022 / « Souffrance au travail », interventions orales de Marie PEZE
2 – « Prise en charge des personnes en burnout en Suisse : Résultats de l’étude épidémiologique auprès des professionnels de la santé » (2022). Unisanté – Centre universitaire de médecine générale et santé publique Département Santé au travail et environnement (DSTE) / Lausanne
https://serval.unil.ch/resource/serval:BIB_74AB0BAAE8A7.S002/REF 
3- LAZARUS R.S. & FOLKMAN S. (1984). Stress, appraisal, and coping. Springer : New York.
4 – ENDLER NS, PARKER JD. Multidimensional assessment of coping: a critical evaluation in Journal of Personality and Social Psychology, 1990, 58 (pp : 844-854)
5 – BATAILLE, Sandrine (4ème Ed. 2022). Se reconstruire après un Burn-out : les chemins de la résilience professionnelle. Dunod : Paris.
6 – Guide à la prévention du Burnout (2015), produit par la DGT coll. ANACT, INRS et Ministère du travail
https://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/Exe_Burnout_21-05-2015_version_internet.pdf
7- « Comment peut-on s’attaquer aux causes de l’épuisement professionnel ? » / Epuisement professionnel – Santé mentale / Centre Canadien d’Hygiène et de Sécurité au Travail
https://www.cchst.ca/oshanswers/psychosocial/mh/mentalhealth_jobburnout.html#section-4-hdr
8- “Self-Care is Not the Solution for Burnout” / Justin D. Henderson, PhD (2022)
https://index.medium.com/self-care-is-not-the-solution-for-burnout-6969bc0a2de6
9- « Le burn-out : quels sont les signes précurseurs et peut-on s’en remettre sans changer d’environnement ? » (RTBF, 2022) Daphné FANON interview le Dr Caroline, psychiatre
https://www.rtbf.be/article/le-burn-out-quels-sont-les-signes-precurseurs-et-peut-on-sen-remettre-sans-changer-denvironnement-10942894
10-“3 REMINDERS WHY YOU SHOULD REST, NOT QUIT” / Michelle CEDEBERG, 2020
https://michellecederberg.com/3-reminders-why-you-should-rest-not-quit/
11- « S’adapter au télétravail » / Bonne santé mentale au travail – Gouvernement du Québec, 2023
https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/sante-mentale/favoriser-bonne-sante-mentale/travail-et-sante-mentale#c190638
12- « Le petit prince, un texte visionnaire sur l’épuisement professionnel » / Podcast organisé par Lucy HAUSS et Marijke YSERBIJT (mai 2023) – WPO
https://www.workplaceoptions.com/fr/podcasts/le-petit-prince-un-texte-visionnaire-sur-lepuisement-professionnel/

Autres publications

Ressources sur le bien-être

Consultez nos rapports sur les tendances du secteur bien-être pour éduquez et engagez vos salariés